« Qu’il fasse beau, qu’il fasse laid », aurait dit Diderot, imposons-nous ne serait-ce que quelques minutes de promenade, pour commencer la journée dans un rythme concentré et vivifié.
Certains courent, cela n’a rien à voir, contentons-nous d’une marche qui permet de forcer corps et pensée à se réaligner. Appelons cela une promènerie. Minutes prolongées, instant présent, acceptons les gouttes quand il y en aura – il y en a déjà eu. Dans une promènerie, quelques pas suffisent, question de qualité. S’arrêter sur l’impression, regarder.