Le souffle et l’odeur
se dispersent Sans ménagement
les hurlements jusque
dans les corps
d’enfants
Sans rire sans rien
la poussière aux narines
les routes de la peine
sur des joues trop grises
Le souffle et l’odeur
se dispersent Sans ménagement
les hurlements jusque
dans les corps
d’enfants
Sans rire sans rien
la poussière aux narines
les routes de la peine
sur des joues trop grises